Au lieu d’annoncer des solutions appropriées pour chacun de ces défis, le chef de l’Etat s’est réfugié comme à son habitude dans l’incantation et les vœux pieux à travers la reprise de slogans mille fois ressassés.
Désastres en haut lieu
Faut-il en rire ou pleurer de ces jérémiades inspirées de l’instinct compulsif de conservation et d’avidité de ce groupuscule qui, avant le hold-up, n’était qu’une pénible roustissure d’affamés, un quarteron d’énergumènes.
Du pétrole dans la Cuvette au Congo
Deux sociétés d'exploitation pétrolière ont présenté samedi à Oyo, ville natale du président Denis Sassou Nguesso, les caractéristiques du premier gisement onshore de pétrole découvert dans la région de la Cuvette au nord du Congo, pouvant quasiment quadrupler la production du pays.
Les étudiants congolais au Maroc font une belle Pub à Sassou
Surréaliste, cette scène d'étudiants congolais au Maroc, complètement livrés à eux-mêmes, campant depuis plusieurs jours devant l’ambassade du Congo au Maroc, passant des nuits à la belle étoile, pour réclamer 32 mois de bourse impayées. Oui, 32 mois de bourse jamais versée, c’est, hélas, la triste réalité d’un pays pétrolier conduit à la banqueroute par le vieux dictateur Sassou.
Pétrole au Congo : " il faut rester prudent quant aux chiffres avancés"
Le clan au pouvoir, drogué au pétrole et à la dette, auxquels pour lui l’économie d’un pays se réduit, pense pouvoir ainsi restaurer l'image abimée du pays auprès des investisseurs et autres prêteurs de fonds en leur faisant croire que le Congo aurait encore dans son sous-sol du pétrole susceptible d'être gagé ! Vraiment impayables !
Cinquante millions de dollars détournés. Les Sassou sur le toit du monde
Chez les Sassou, c’est toujours comme ça ! On serait même tenté de déduire que le vol ferait partie du patrimoine génétique. Question de bon sens. Que feront-ils de tous ces milliards amassés au fil des années ? A moins que ce ne soit une volonté délibérée de nuire à autrui.
Sassou en mode Ali Baba
Certes, les signes d’essoufflement du pouvoir de Brazzaville sont visibles tant le régime est économiquement et socialement coincé. Toutefois, sa machine répressive demeure intacte. Mais les dictatures, aussi coriaces soient-elles, finissent par s’écrouler et meurent de leur propre poison.