« Je ne peux pas rentrer au Congo Brazzaville, parce qu’on me dit que je prépare des coups d’Etat avec des verbes, des sujets et des compléments…»
Sassou interdit la tenue de la convention de Kolelas
Kolelas avait prévu de se réunir avec Tsaty Mabiala et autres Kignoumbi kia Mboungou, Fila Saint Eudes dans la but de mettre en place la énième rassemblement de l'opposition ce samedi. Une réunion interdite par Sassou pour des motifs fallacieux.
Kala Kala : ‘’Chérie, viens vite, viens vite. Ils sont venus me jeter près de la morgue. Je suis là. viens vite ’’
Après son enlèvement,par les sbires de Sassou, M. Kala Kala a raconté qu'ila été emmené " hors de Brazzaville, enfermé dans un container, et de temps en temps, dans des sacs. Enfermé, tabassé, on lui demandait où se cachait son chef, ou était X ou Y. Ils voulaient savoir où se cachait son chef ".
Message des Evêques du Congo : " La paix n’est pas un simple slogan "
" Nous, Evêques du Congo, vous rappelons que le dialogue véritable constitue la pierre angulaire de toute vraie démocratie. Nous demandons vivement à nos responsables politiques d’œuvrer dans ce sens en vue du retour définitif de la paix au Congo en général et dans le Pool en particulier. Que l’Etat prenne ses responsabilités de garant de la paix et de l’unité nationale ".
Sassou : la folie d’un régime !
Les massacres perpétrés dans le Pool font tomber les derniers masques d’un régime prédateur broyant les fils du pays. D’année en année, l’on a fini par comprendre que les conflits dans cette région du Congo ne sont, pour l’essentiel, que le reflet d’une basse représentation des schémas mentaux de ceux qui se sont accaparés la puissance publique.
Congo : bienvenue au pays de la torture
Torture ordinaire pratiquée des les geôles bien équipées de Monsieur Sassou. Dernière victime en date : monsieur Augustin Kala Kala. Monsieur Moungalla, griot du clan au pouvoir, nous expliquera sans doute que M. Kala Kala s'est lui-même fouetté le dos, après une grève de la faim, à moins qu'il n'y voit la main des Ninjas ou une mise en scène...
« Pourquoi j’ai attaqué l’Ambassade du Congo-Brazzaville à Paris »
«J'ai attaqué l'ambassade, j’étais le chauffeur et c’était ma voiture. J’ai forcé la porte. Puis ça a duré deux minutes, on a lancé des cocktails Molotov et on est reparti en courant.»